Maison bioclimatique

Premier bilan pour la maison bioclimatique

Après une année de « mise en service », Villa Soleil dresse un premier bilan très positif de sa maison bioclimatique :consommations réelles, vécu des locataires, bilan technique et environnemental, apport du puits canadien, tous les indicateurs de la maison sont « au vert » et soulignent la pleine réussite de ce projet.
Les premiers résultats révèlent ainsi une consommation énergétique annuelle de 306 € pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire (conforme aux prévisions) et démontrent l’efficacité
des solutions techniques retenues.

Pour les « usagers »

Une faible dépense énergétique conforme aux prévisions. Avec 306 € dépensés entre juin 2006 et juin 2007 pour le chauffage(chaudière GAZ NATUREL à condensation) et l’eau chaude sanitaire, les occupants de la maison ont déboursé moins de 1 € par jour pour ces deux postes (environ 80% des dépenses énergétiques dans les logements).


Malgré la majoration inhérente à la 1ère année d’utilisation de la maison, dite « période de sèche » (communément +10% à 15% de consommation supplémentaire par rapport à une utilisation normale), malgré le maintien par les occupants d’une température ambiante plus élevée que celle préconisée par le bureau d’études thermiques (21,6°C en moyenne vs. 19°C conseillé) et bien que l’hiver ait été plus doux que les années antérieures, ces résultats sont donc très satisfaisants.

Un confort jugé « très » appréciable. Interrogés par la presse lors de la visite de Jean Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables et Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’Etat à l’Ecologie le 20 juillet dernier, les habitants se sont dits très « satisfaits » de cette maison. Au delà des économies d’énergie primordiales, c’est naturellement le confort de la maison qui a été moteur dans ce projet qui valorise donc de façon significative le bien-être
des occupants, été comme hiver.


Sur le plan technique et environnemental

Classe « A » sur l’étiquette énergie – classe « C » étiquette CO2


Evaluée selon la méthodologie officielle des diagnostics de performance énergétique, la maison consomme 48 kwh/ep/m 2 / an et est classée « A » sur l’étiquette énergie et classe « C » sur l’étiquette CO2.
Ces résultats sont le fruit de la mise en place conjointe d’une conception bioclimatique approfondie et de solutions techniques environnementales désormais éprouvées et jugées très performantes :

  • une conception bioclimatique soigneusement étudiée grâce au référentiel
    GAZ DE FRANCE
    compacité de la maison, implantation sur le site, orientation SUD des ouvertures, protections
    solaires en été, cellier en espace tampon, …
  • 4 m 2 de panneaux solaires pour la production d’eau chaude sanitaire
  • un chauffage Gaz Naturel à condensation
  • une isolation renforcée (plafond, plancher, toiture, rupteurs de ponts thermiques)
  • des vitrages peu émissifs avec lame argon
  • un puits canadien avec une ventilation double flux.

Elles réduisent les consommations énergétiques dans la maison ainsi que les émissions de gaz à effet de serre provenant de
la combustion de l’énergie et contribuent donc à mieux protéger notre planète.Information presse L’apport essentiel du puits canadien comme « réchauffement naturel de l’air neuf ». Ce puits canadien, grâce auquel l’air extérieur circule sous terre  avant d’être redistribué dans chaque pièce de la maison par une VMC double flux, livre également ses premiers résultats.
Les relevés  des 3 capteurs de température et de taux d’hygrométrie installés indiquent qu’en période la plus froide du mois de janvier 2007, on obtient un préchauffage de l’air entre 3 et 4°C avec pour effets bénéfiques une mise hors gel naturelle et une réduction significative des déperditions thermiques.

Une validation de la pertinence de son offre environnementale. Ces résultats, très satisfaisants, confortent les choix environnementaux retenus par le constructeur drômois. Il permettent d’envisager l’avenir sereinement car les solutions mises en places ont pu être analysées avec le recul nécessaire et peuvent donc être dupliquées en toute sérénité sur d’autres projets de construction. « En 2006, la difficulté à laquelle nous étions confrontés était de montrer la compatibilité entre la réalisation
de substantielles économies d’énergie dans la maison et l’aboutissement d’un projet environnemental simple et accessible au plus grand nombre », explique Laurent BEAUGIRAUD, P.D.G. de Villa Soleil. « Aujourd’hui, c’est chose faite, et c’est une victoire pour tous ceux, professionnels ou particuliers, qui souhaitent limiter de façon plus systématique les consommations énergétiques dans la maison individuelle et préserver notre planète. »

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